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Habitat et foncier

Habitat social et participation citoyenne des habitants : quelles pratiques pour quels objectifs ?

 

(Millenaire3) – En 2017, près de 9 français sur 10 se disaient favorables à la démocratie participative.

Au milieu de ces « indicateurs positifs » de la confiance exprimée (amélioration de la transparence, de l’efficacité des décisions des élus, etc.), près des deux tiers partagent le sentiment que ces dispositifs sont peu pris en compte lors des prises de décision (Respublica/Harris).

Ces chiffres contrastés révèlent la complexité des enjeux et des effets réels de la « participation ».

Au-delà des opportunités de mise en débat qu’ils offrent, ces dispositifs participatifs font en effet l’objet de nombreuses critiques : à la fois sur le fond, concernant les principes politiques mis en jeu, et sur la forme, concernant les moyens humains, financiers, matériels et techniques engagés et leurs effets réels.

Si le champ de l’habitat n’échappe pas à cet impératif participatif, il n’évite pas non plus les critiques, que la démarche soit mise en œuvre par des institutions publiques ou privées.

En somme, ces revendications posent, à quelques nuances près, toujours la même question : « la participation produit-elle plus ou moins de démocratie ? » (G. Gourges, 2013).

Source : Habitat social et participation citoyenne des habitants : quelles pratiques pour quels objectifs ? : Millenaire 3, Modes d’action

Printemps des Territoires – Pour un habitat rénové, inclusif et évolutif…

(Banque des territoire) – Pour son Printemps des Territoires 2022 – journée d’échanges tous azimuts entre acteurs et décideurs publics locaux et nationaux organisée ce 22 septembre au Centquatre à Paris -, la Banque des Territoires a souhaité porter une vision prospective. Comment préparer la France de 2030 ? « Un élan plus qu’un bilan », tel que l’a lancé en préambule son directeur, Olivier Sichel. Se projeter, en commençant par les problématiques prégnantes de l’habitat et de la rénovation énergétique, de la santé et du vieillissement…

Source : Printemps des Territoires – Pour un habitat rénové, inclusif et évolutif…

La construction de logements dans les jardins gagne du terrain

(La Gazette des communes – Avec la perspective du zéro artificialisation nette des sols, la démarche BIMBY (« Build In My Back Yard ») est un levier de production de logements. Les expérimentations de ce processus de division parcellaire accompagnée par la collectivité ont été lancées en France en 2015. Il vise désormais les métropoles.

Source : La construction de logements dans les jardins gagne du terrain

Demain, comment réduira-t-on l’empreinte carbone des bâtiments ?

(Usbek & Rica) – Et si l’on faisait un saut de vingt ans dans le futur pour voir comment le secteur du bâtiment optimisera son empreinte écologique à chaque étape de la construction, du choix des matériaux à la fin de vie de l’immeuble ? Une réflexion menée avec l’entreprise Interface, lauréate du Prix de l’action climatique de l’ONU en 2020, qui vise à devenir une entreprise régénératrice en 2040 à travers sa mission Climate Take Back.

Source : Usbek & Rica – Demain, comment réduira-t-on l’empreinte carbone des bâtiments ?

L’« exode urbain », extension du domaine de la rente

(Métropolitiques) – La thématique de l’exode urbain s’est imposée dans les médias comme l’une des conséquences de la pandémie de Covid-19. Aurélie Delage et Max Rousseau perçoivent plutôt une « relocalisation du capital » entretenue par les discours médiatiques. « Il n’y a plus rien à vendre. » Entendue de la bouche de maires ruraux ou d’agents immobiliers au sortir de l’été 2020, cette phrase est reprise comme une antienne en guise de preuve manifeste de l’« exode urbain ».

Source : L’« exode urbain », extension du domaine de la rente – Métropolitiques

Zéro artificialisation nette : banc d’essai de la planification écologique

(AOC) – Si la rhétorique en faveur d’une urbanisation plus contenue n’est pas neuve, fixer l’absence d’artificialisation des sols comme objectif constitue une rupture majeure pour l’aménagement du territoire. La sobriété foncière paraît buter au moins autant sur sa faisabilité urbanistique et les enjeux économiques qu’elle charrie que sur des questions institutionnelles, fiscales et politiques.

Source : Zéro artificialisation nette : banc d’essai de la planification écologique – AOC media – Analyse Opinion Critique

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