AURG

Dernières actus

Climat : le Shift Project lance une plateforme d’aide à la décision

(Banque des territoires) – Des chiffres et des éléments d’analyse par strate de collectivité. C’est ce que propose la plateforme Territoires au Futur dédiée à la transition énergétique et climatique. L’ambition du Shift Project à l’initiative du projet est d’outiller élus et citoyens pour respecter l’échéance de 2030 sur la neutralité carbone.

Source : Climat : le Shift Project lance une plateforme d’aide à la décision

Les éditions : L’eau de pluie, une amie qui refait surface

(Cerema) – Le Cerema publie l’Essentiel « L’eau de pluie, une amie qui refait surface », qui aborde la question de l’infiltration des eaux pluviales dans le cadre d’une gestion à la parcelle et les leviers d’action pour les acteurs des territoires. Cyril Pajot, chargé d’études Gestion de l’eau et des Milieux Aquatiques et co-rédacteur du document, répond à 3 questions sur la gestion des eaux pluviales afin de favoriser son infiltration au plus près de là où elle tombe.

Source : Les éditions : L’eau de pluie, une amie qui refait surface | Cerema

Architecture et réchauffement climatique 

(Green Letter) Émission de CO2, artificialisation des sols ou production massive de déchets : on ne le sait pas toujours, mais le bâtiment est l’un des secteurs les plus nocifs pour le climat et le vivant. D’où cette question : comment réduire l’impact de notre habitat sur la planète ? Interview de Philippe Madec réalisée par Maxime Thuillez

01:02 – Est-ce que vous pouvez nous raconter votre parcours ? Pourquoi êtes-vous devenu architecte ? Pourquoi êtes-vous devenu un architecte écologiste ? 05:45 – En 2018, vous avez lancé le manifeste pour une frugalité heureuse et créative. Qu’est-ce que ce manifeste ? 09:47 – Le secteur du bâtiment est un des principaux émetteur de gaz à effet de serre ? Qu’est-ce qui pollue autant dans le bâtiment ? 12:05 – Justement, j’ai les chiffres de l’ADEME sous les yeux qui datent de 2016. Un Français produit 568 kilos d’ordures ménagères par an, 700 kilos de déchets d’entreprise et 3,4 tonnes qui sont liées à la construction… 13:17 – Pourquoi le ciment émet autant de gaz à effet de serre ? 16:46 – Qu’est-ce qui explique cette folie de l’artificialisation des sols ? en Europe mais aussi dans les pays émergents… on a l’impression qu’on est en train de bétonniser le monde. 22:07 – Vous êtes un dés hérauts, des porte-voix de l’architecture bio-climatique… est-ce que vous pouvez nous expliquer ce que c’est ? 24:06 – Quand vous construisez un bâtiment… vous regardez où est le soleil, d’où vient le vent, c’est ce type de questions que vous vous posez avant de bâtir ? 25:26 – Vous avez écrit qu’il faut se désintoxiquer de la technologie… dans les bâtiments que vous construisez, il y a moins, peu ou pas de chauffage, de climatisation ? Comment vous arrivez à faire cela ? 30:18 – La climatisation représente 10% de l’électricité consommée dans le monde. Il y a 1,6 milliards de climatiseurs, on prévoit qu’il y en aura plus de 5 milliards au XXème siècle. Pour le froid aussi il y a des solutions naturelles ? 34:43 – L’énergie et l’énergie pas chère a permis de faire un habitat uniformisé aux quatre coin du monde. L’architecture que vous dessinez-là, c’est de revenir à une architecture régionale, d’aller chercher des matériaux et des savoirs-faire locaux ? L’architecture va redevenir un artisanat ? 38:31 – Vous pouvez prendre des exemples de projets que vous avez mené ? Quels matériaux utilisez-vous ? 42:12 – Dans ce contexte de mondialisation, est-ce que ce n’est pas un luxe de construire avec des matériaux locaux, par rapport à des matériaux mondialisés que l’on suppose moins cher ? C’est accessible ces matériaux locaux ou est-ce réservé à une partie de la population ? 44:41 – On parle beaucoup, chez les architectes, du côté démiurge, de la construction, or la majorité du bâti en France, il est là, il est construit. Est-ce que le grand sujet n’est pas celui de la rénovation plutôt que la construction ? 48:52 – La réhabilitation : les zones pavillonnaires, les habitats dortoirs… tout cela, il ne faut pas le détruire mais le réhabiliter ? 53:33 – Un des constat de l’architecture de ces cinquante dernières années, c’est les quartiers sans vie, des banlieues dortoirs aux tours de la Défense. Comment fait-on pour créer du lien, de la convivialité – si chère à Ivan Illich, dans des projets frugaux ? 57:10 – Il y a un sujet dont on n’a pas parlé, c »est la destruction de la biodiversité. Comment arrive-t-on à renouer avec le vivant, en architecture ? en urbanisme ? 59:53 – On va parler d’urbanisme. Est-ce que vous partagez l’idée de Guillaume Faburel, qu’il faut en finir avec les « métropoles barbares », qu’il faut en finir avec les grandes métropoles ? 01:06:06 – Est-ce que l’on doit densifier nos villes ? Est-ce qu’il faut entourer les villes avec des ceintures maraichères ? Comment faire pour redonner de l’attractivité aux petites villes ? 01:09:48 – Philippe Madec, vous êtes élu ministre du logement, ou Président de la République, quelles sont les premières mesures que vous prenez ? 01:10:47 – Quel message voudriez-vous adresser aux gens qui nous écoutent ?

Source : Greenletter Club, l’écologie décortiquée | #71 – Architecture : vers le bioclimatisme ? Philippe Madec | Ausha

Jeunesse, culture & numérique : les six grands constats qui concernent déjà la génération Z

(Millénaire) – En collaboration avec la direction de la Culture, de la vie associative, de l’éducation culturelle et du lien sociale, la Prospective de la Métropole de Lyon a porté de 2022 à 2023 une démarche visant à explorer le rapport des jeunes publics à la culture, et en particulier aux arts vivants, dans un contexte de transformation digitale des pratiques et des offres culturelles et artistiques.

Source : Jeunesse, culture & numérique : les six grands constats qui concernent déjà la génération Z : Millenaire 3, Le spectacle vivant au défi de la jeunesse et du numérique

L’avenir du ZAN passera-t-il par l’intercommunalité ?

(La Gazette des communes) – Alors que la proposition de loi sénatoriale visant à faciliter la mise en oeuvre du ZAN est dans les limbes de l’agenda de l’Assemblée nationale, Intercommunalités de France insiste sur le rôle des plans locaux d’urbanisme intercommunaux pour traduire sur le terrain les objectifs de baisse de l’artificialisation des sols.

 

Source : L’avenir du ZAN passera-t-il par l’intercommunalité ?

Mise en œuvre du ZAN : les intercommunalités appellent à généraliser le PLUi

(Banque des territoires) – Nul besoin d’une nouvelle loi pour faciliter la mise en œuvre de l’objectif de zéro artificialisation nette (ZAN) : pour les élus d’Intercommunalités de France, la généralisation des plans locaux d’urbanisme intercommunaux (PLUi) est le meilleur moyen de porter l’enjeu de sobriété foncière tout en prenant en compte les besoins de développement des différentes communes, quelle que soit leur taille.

Source : Mise en œuvre du ZAN : les intercommunalités appellent à généraliser le PLUi

Régulation du « quick commerce » : « Il faudra rester très vigilant »

(Banque des territoires) – Alors que l’essor du « quick commerce » s’est autorégulé par la loi du marché, avant même l’entrée en vigueur du décret du 23 mars, deux députées invitent à la « vigilance ». Dans un rapport d’information présenté le 3 mai, elles pointent un modèle économique par nature « déficitaire », peu regardant sur les droits des livreurs et générateur d' »externalités négatives » (nuisances, déchets…). Elles formulent 24 propositions visant notamment à accentuer les contrôles.

Source : Régulation du « quick commerce » : « Il faudra rester très vigilant »

« Mettre au cœur des politiques communales, un indicateur basé sur des buts ultimes »

(La Gazette des communes) – Renaud Gaucher est l’auteur d’une thèse doctorale sur l’innovation dans la mesure du bien-être au centre de recherche en économie du bonheur de l’Université Érasme de Rotterdam. Il l’auteur de plusieurs livres, dont « Bonheur et politiques publiques », et de 6 articles scientifiques, dont un présentant une méthode comptable et une méthode économétrique pour optimiser la relation entre dépenses publiques et conditions sociales du bonheur des citoyens. Dans une tribune dans la Gazette, il défend la création d’un indicateur basé sur des buts ultimes pour les collectivités.

Source : « Mettre au cœur des politiques communales, un indicateur basé sur des buts ultimes »

Tous les jeudis, recevez « L’Agence veille pour vous »,
l’actualité hebdomadaire du blog de veille