(The Conversation) – Que représentent vraiment les relations de voisinage dans nos sociabilités quotidiennes ? Quelques éclairages avec les résultats d’une grande enquête.
Source : Relations entre voisins : la force des liens faibles
(The Conversation) – Que représentent vraiment les relations de voisinage dans nos sociabilités quotidiennes ? Quelques éclairages avec les résultats d’une grande enquête.
Source : Relations entre voisins : la force des liens faibles
(Usbek & Rica) – Contraction de « smartphone » et de « zombie », le smombie a envahi les rues du monde entier. Et si les villes donnaient demain aux citadins l’envie de décoller les yeux de leur écran ?
Source : Usbek & Rica – « Smombies » : comment sortir les villes de l’addiction aux écrans ?
(France Inter) – Une consultation citoyenne est en cours dans le Vercors au sujet des deux projets de résidences de tourisme à Villard-de-Lans et Corrençon, liés à la société d’investissement de Tony Parker. L’Etat doit se prononcer en lisant les avis du public, largement négatifs pour l’instant.
Source : Dans le Vercors, une étape importante dans la lutte contre le projet de Tony Parker | France Inter
(Futuribles) – En 2017, l’économiste britannique Kate Raworth publiait son ouvrage La Théorie du donut [1], dans lequel elle invitait à délimiter les économies au regard de deux frontières : une frontière sociale interne, correspondant aux besoins fondamentaux (au sens de Maslow : se nourrir, se loger, se soigner…) qui doivent être assouvis pour tous les individus ; et une frontière environnementale externe, correspondant aux neuf limites planétaires que l’humanité ne doit pas dépasser. Le donut délimité par ces deux frontières (graphique ci-dessous) correspond à l’espace dont dispose l’humanité pour satisfaire ses besoins fondamentaux en garantissant le respect des limites de la planète.
Source : La théorie du donut au service de la transition de Grenoble – Futuribles
(Usbek & Rica) – Pour mieux comprendre les sentiments qui traversent les militants écologistes au quotidien, le psychosociologue Jean Le Goff a mené l’enquête auprès d’eux et en a tiré un livre, Politiser l’éco-anxiété, sorti récemment aux éditions du Détour. Entretien.
Source : Usbek & Rica – Éco-anxiété : « L’action ne protège pas toujours de l’angoisse »
(The Conversation) – Les enfants ont disparu de l’espace public, tandis que la voiture l’a colonisé. Reconcevoir l’urbanisme à hauteur d’enfants permet de créer des villes plus résilientes et plus inclusives.
Source : Pourquoi les villes mieux adaptées aux enfants sont aussi plus durables
(Reporterre) – Comment vivrons-nous quand la neige aura disparu ? Raphaëlle Lavorel, journaliste à Grenoble, imagine le quotidien d’un village de moyenne montagne en 2050. Une vie sans ski, mais remplie d’espoir.
Source : « Quand le ski disparaîtra : ma vie en montagne en 2050 »
(La vie des idées)- Dans un essai stimulant et informé, Sandra Hoibian réfute la thèse d’une fragmentation de la société française et propose une réflexion pour mesurer une notion floue, la cohésion sociale.
Source : Comment mesurer la cohésion sociale – La Vie des idées
(Banque des territoires)- Entre 2018 et 2023, la part des enfants mineurs vivant en famille monoparentale est passée de 21 à 23%. 19% vivent avec leur mère, une situation que connaissent quatre enfants sur dix dans les DOM. En France hors Mayotte, avec les familles recomposées, la proportion des enfants qui ne vivent pas avec leurs deux parents atteint 33%.
Source : La part des familles monoparentales continue d’augmenter
(Inégalités) – La pauvreté préoccupe 83 % des Français. Quand on les interroge sur leur situation personnelle, trois personnes sur dix s’estiment pauvres ou craignent de le devenir. Avec de bonnes raisons pour cela.
(www.observationsociete.fr) – En 2070, la France devrait compter 19,6 millions de personnes de 65 ans et plus contre 14,8 millions aujourd’hui, selon l’Insee.
Source : Vieillissement : ce qui nous attend d’ici 2070 – Centre d’observation de la société
(Observatoire des inégalités) – Les plus défavorisés sont-ils les plus exposés aux dégradations de l’environnement ? Les plus riches portent-ils la responsabilité des modes de vie les plus néfastes au climat ? Ce dossier rassemble des éléments de compréhension indispensables à la construction de politiques environnementales qui tiennent compte de la fracture sociale.
Source : Observatoire des inégalités
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