(Urbis) – Il n’est heureusement pas trop tard pour évoquer le travail de prospective effectué par l’Agence Hauts de France 2020-2040 sur les centres-villes de demain.
Source : Quels centres-villes à l’horizon 2040 ? – URBIS le mag
(Urbis) – Il n’est heureusement pas trop tard pour évoquer le travail de prospective effectué par l’Agence Hauts de France 2020-2040 sur les centres-villes de demain.
Source : Quels centres-villes à l’horizon 2040 ? – URBIS le mag
(Métropolitiques) – Si l’idée d’intégrer la biodiversité dès la conception des projets d’aménagement s’est généralisée, la méthode consistant à penser le milieu urbain comme un système écologique évolutif demeure en revanche mal connue. Philippe Clergeau et Eduardo Blanco en rappellent ici les principes centraux.
Source : Projets urbains régénératifs : de l’idée à la méthode – Métropolitiques
(Radio Royans) Suite à la 1ère conférence portant sur les ruralités en transitions à La Chapelle en Vercors, place à l’entité Parc naturel régional du Vercors et sa charte en révision instruisant de potentielles dynamiques communes avec « Petites villes de demain ».
Source : Demain le Vercors, des petites villes de demain dans un parc naturel
(Métropolitiques) – Les tiers-lieux, symboles de l’urbanisme alternatif, peuvent-ils être autre chose qu’une parenthèse spatiale et temporelle dans la fabrique des métropoles ? Sandra Mallet et Arnaud Mège analysent ici le cas de l’Écosystème Darwin à Bordeaux, qui tente de trouver sa place entre logiques marchandes et aménagement de ZAC. Situé sur la rive droite de la Garonne, sur les friches de l’ancienne caserne militaire Niel, l’Écosystème Darwin, tiers-lieu « branché » à « l’esprit d’entreprise engagé », est devenu au
Source : Les tiers-lieux, entre militantisme, logiques marchandes et stratégies (…) – Métropolitiques
(Mairie Info) – L’Agence nationale de la cohésion des territoires a diffusé hier un point d’avancement du programme Petites villes de demain. Elle fait état d’une dynamique satisfaisante, puisque la presque totalité des communes et intercommunalités engagées a signé une convention d’adhésion.
France 5) – Autrefois considérées comme un moteur pour la croissance économique, les zones pavillonnaires incarnaient le rêve pour les classes moyennes des années 60 alors en pleine expansion. Ce modèle devait apporter une solution aux problèmes des grands ensembles, à l’engorgement des villes et à la désertification des campagnes. Mais le passage de la crise en a fait un véritable cauchemar pour ceux qui y habitent. Les coûts individuels et collectifs de ces zones périurbaines sont devenus exorbitants et leur impact sur l’environnement est désastreux. Leurs résidents vivent aujourd’hui sur le fil entre résignation et révolte.
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