(Médiacité) – Alors que la part de la population mondiale vivant en ville dépasse les 50 % et ne cesse d’augmenter, l’urbanisation affecte la circulation de l’air, les températures et l’humidité. À la clé, un microclimat spécifique aux villes dont la principale caractéristique est l’îlot de chaleur urbain. Les températures y sont plus élevées que dans les zones
Source : Les effets mitigés des arbres sur la qualité de l’air urbain