(Usbek & Rica) – Pour le prospectiviste Georges Amar, il faut aimer le futur comme on aime un enfant. Pour l’un et l’autre, aimer, c’est libérer, c’est ouvrir de nouveaux horizons. Une tâche délicate quand scientifiques, politiques et entreprise s’évertuent à vouloir réduire l’incertitude, notamment dans l’Hexagone où le futur inquiète autant qu’il agace.
Source : Usbek & Rica – « Tout parent fait de la prospective et questionne le futur »