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Les jeunes quittent plus souvent les communes rurales

(Insee Flash Auvergne-Rhône-Alpes) – Les habitants des communes rurales d’Auvergne Rhône-Alpes déménagent principalement pour poursuivre leurs études ou occuper un premier emploi. La majorité reste dans la région, voire dans le même département, et rejoint les pôles urbains. Les autres s’installent souvent dans une région ou un département limitrophe. Ces partants sont plutôt jeunes, vivent plus souvent seuls et sont plus diplômés. Les personnes qui se réinstallent dans une commune rurale hors Auvergne-Rhône-Alpes forment plus souvent des familles avec enfants et sont moins souvent sans activité professionnelle.

Source : Les jeunes quittent plus souvent les communes rurales – Insee Flash Auvergne-Rhône-Alpes – 130

La controverse du ZAN 

(Telos) – Bientôt deux ans après son adoption par le Parlement, on débat encore sinon de sa nécessité du moins de son applicabilité, mise en doute par le Sénat et l’Association des Maires de France. Bourvil aurait pu s’exclamer : « le ZAN non, la sobriété foncière oui ! », pour résumer cette fronde des territoires qui s’insurgent contre une loi encore et toujours venue de Paris, cette capitale qui les méconnaîtrait tant.

Source : La controverse du ZAN – Telos

Ville-service numérisée ou cité politique : 2 scénarios pour le futur de la smart city

(Usbek & Rica – Entre amélioration de la qualité des services, préservation des ressources et protection des libertés individuelles, comment faire évoluer nos systèmes urbains en vue de demain ? Au modèle des villes « optimisées » par des algorithmes se nourrissant de nos moindres faits et gestes, s’oppose une conception radicalement différente de la gouvernance urbaine, collaborative et participative. Nous avons échafaudé deux scénarios prospectifs pour explorer ces pistes qui dessinent le futur de nos villes à l’ère du « big data ».

Source : Usbek & Rica – Ville-service numérisée ou cité politique : 2 scénarios pour le futur de la smart city

«Quand le climat et la société font leur révolution, la culture ne doit pas s’abriter ou rester muette, mais au contraire nous inspirer» 

(vert.eco) – Si le secteur culturel ne peut pas s’extraire d’une transition écologique nécessaire pour préserver de bonnes conditions de vie sur Terre, l’écologie a aussi besoin de la culture pour «susciter l’envie et le désir», soutiennent les auteur·ices de cette tribune.

Source : «Quand le climat et la société font leur révolution, la culture ne doit pas s’abriter ou rester muette, mais au contraire nous inspirer» – vert.eco

Climat : le Shift Project lance une plateforme d’aide à la décision

(Banque des territoires) – Des chiffres et des éléments d’analyse par strate de collectivité. C’est ce que propose la plateforme Territoires au Futur dédiée à la transition énergétique et climatique. L’ambition du Shift Project à l’initiative du projet est d’outiller élus et citoyens pour respecter l’échéance de 2030 sur la neutralité carbone.

Source : Climat : le Shift Project lance une plateforme d’aide à la décision

Les éditions : L’eau de pluie, une amie qui refait surface

(Cerema) – Le Cerema publie l’Essentiel « L’eau de pluie, une amie qui refait surface », qui aborde la question de l’infiltration des eaux pluviales dans le cadre d’une gestion à la parcelle et les leviers d’action pour les acteurs des territoires. Cyril Pajot, chargé d’études Gestion de l’eau et des Milieux Aquatiques et co-rédacteur du document, répond à 3 questions sur la gestion des eaux pluviales afin de favoriser son infiltration au plus près de là où elle tombe.

Source : Les éditions : L’eau de pluie, une amie qui refait surface | Cerema

Architecture et réchauffement climatique 

(Green Letter) Émission de CO2, artificialisation des sols ou production massive de déchets : on ne le sait pas toujours, mais le bâtiment est l’un des secteurs les plus nocifs pour le climat et le vivant. D’où cette question : comment réduire l’impact de notre habitat sur la planète ? Interview de Philippe Madec réalisée par Maxime Thuillez

01:02 – Est-ce que vous pouvez nous raconter votre parcours ? Pourquoi êtes-vous devenu architecte ? Pourquoi êtes-vous devenu un architecte écologiste ? 05:45 – En 2018, vous avez lancé le manifeste pour une frugalité heureuse et créative. Qu’est-ce que ce manifeste ? 09:47 – Le secteur du bâtiment est un des principaux émetteur de gaz à effet de serre ? Qu’est-ce qui pollue autant dans le bâtiment ? 12:05 – Justement, j’ai les chiffres de l’ADEME sous les yeux qui datent de 2016. Un Français produit 568 kilos d’ordures ménagères par an, 700 kilos de déchets d’entreprise et 3,4 tonnes qui sont liées à la construction… 13:17 – Pourquoi le ciment émet autant de gaz à effet de serre ? 16:46 – Qu’est-ce qui explique cette folie de l’artificialisation des sols ? en Europe mais aussi dans les pays émergents… on a l’impression qu’on est en train de bétonniser le monde. 22:07 – Vous êtes un dés hérauts, des porte-voix de l’architecture bio-climatique… est-ce que vous pouvez nous expliquer ce que c’est ? 24:06 – Quand vous construisez un bâtiment… vous regardez où est le soleil, d’où vient le vent, c’est ce type de questions que vous vous posez avant de bâtir ? 25:26 – Vous avez écrit qu’il faut se désintoxiquer de la technologie… dans les bâtiments que vous construisez, il y a moins, peu ou pas de chauffage, de climatisation ? Comment vous arrivez à faire cela ? 30:18 – La climatisation représente 10% de l’électricité consommée dans le monde. Il y a 1,6 milliards de climatiseurs, on prévoit qu’il y en aura plus de 5 milliards au XXème siècle. Pour le froid aussi il y a des solutions naturelles ? 34:43 – L’énergie et l’énergie pas chère a permis de faire un habitat uniformisé aux quatre coin du monde. L’architecture que vous dessinez-là, c’est de revenir à une architecture régionale, d’aller chercher des matériaux et des savoirs-faire locaux ? L’architecture va redevenir un artisanat ? 38:31 – Vous pouvez prendre des exemples de projets que vous avez mené ? Quels matériaux utilisez-vous ? 42:12 – Dans ce contexte de mondialisation, est-ce que ce n’est pas un luxe de construire avec des matériaux locaux, par rapport à des matériaux mondialisés que l’on suppose moins cher ? C’est accessible ces matériaux locaux ou est-ce réservé à une partie de la population ? 44:41 – On parle beaucoup, chez les architectes, du côté démiurge, de la construction, or la majorité du bâti en France, il est là, il est construit. Est-ce que le grand sujet n’est pas celui de la rénovation plutôt que la construction ? 48:52 – La réhabilitation : les zones pavillonnaires, les habitats dortoirs… tout cela, il ne faut pas le détruire mais le réhabiliter ? 53:33 – Un des constat de l’architecture de ces cinquante dernières années, c’est les quartiers sans vie, des banlieues dortoirs aux tours de la Défense. Comment fait-on pour créer du lien, de la convivialité – si chère à Ivan Illich, dans des projets frugaux ? 57:10 – Il y a un sujet dont on n’a pas parlé, c »est la destruction de la biodiversité. Comment arrive-t-on à renouer avec le vivant, en architecture ? en urbanisme ? 59:53 – On va parler d’urbanisme. Est-ce que vous partagez l’idée de Guillaume Faburel, qu’il faut en finir avec les « métropoles barbares », qu’il faut en finir avec les grandes métropoles ? 01:06:06 – Est-ce que l’on doit densifier nos villes ? Est-ce qu’il faut entourer les villes avec des ceintures maraichères ? Comment faire pour redonner de l’attractivité aux petites villes ? 01:09:48 – Philippe Madec, vous êtes élu ministre du logement, ou Président de la République, quelles sont les premières mesures que vous prenez ? 01:10:47 – Quel message voudriez-vous adresser aux gens qui nous écoutent ?

Source : Greenletter Club, l’écologie décortiquée | #71 – Architecture : vers le bioclimatisme ? Philippe Madec | Ausha

Jeunesse, culture & numérique : les six grands constats qui concernent déjà la génération Z

(Millénaire) – En collaboration avec la direction de la Culture, de la vie associative, de l’éducation culturelle et du lien sociale, la Prospective de la Métropole de Lyon a porté de 2022 à 2023 une démarche visant à explorer le rapport des jeunes publics à la culture, et en particulier aux arts vivants, dans un contexte de transformation digitale des pratiques et des offres culturelles et artistiques.

Source : Jeunesse, culture & numérique : les six grands constats qui concernent déjà la génération Z : Millenaire 3, Le spectacle vivant au défi de la jeunesse et du numérique

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